25-03-2011, 10:59:38
Ce qui pourrait être un gage théorique de bonne conduite, c'est la boîte automatique qui équipe la Volvo 740 D 24 T convoitée.
Pourquoi?
Les gens qui roulent en boîtoto aiment un style de conduite coulé privilégiant le confort à la recherche de la perf' à tout prix.
Ce qui va dans l'intérêt d'un D 24 T (109 ch sans intercooler, donc!) à la réputation globale de fragilité (si négligé), dont la culasse n'aime pas le manque de respect qui lui est du, pour son long et progressif temps de chauffe nécessaire.
Ceci dit, je connais la 760 GLE AM 83 1ère main d'un ami, motorisée par un D 24 T, totalisant 750 000 km d'origine avec le même bloc. Comme quoi!
Oui, ça existe! Mais il a compris et il applique scrupuleusement le mode d'emploi de ce moteur VW agréable, performant pour son époque et... robuste si on veut bien en jouer.
Les D 24 simples, T, et Tic bâclés antérieurs à 1995, sont étrangement en vente entre 250 000 et 350 000 kilomètres avec une note globale de reconstruction entre 6000 € (case motoriste) et 9000 € (en passant par Volvo), avec factures, dans les deux cas.
Ca peut se calculer, mais un D 24 négligé à refaire tôt ou tard coûtera aussi cher, voire plus cher qu'un B XXX consommant 2 litres de SP en plus avec un kilométrage identique
.
Pour vous donner une idée, la réfection complète d'un B 20 A (1,9 l à essence culbuté), "bloc livré embiellé", plus réfection de la culasse (avec entre autres choses, pose de bagues rapportées admission et échappement pour rouler au sans-plomb sans risque de récession) m'est revenue à 2500 €.
Un "bloc rouge" à essence plus moderne genre B 21 ou B 200 reviendra moins cher à reconditionner le moment venu, c'est-à-dire, très tard.
De quoi reconsidérer, peut-être, l'attraît du Diesel par rapport à l'essence, avec un écart de 0,15 € au litre
?
Si tu roules vraiment beaucoup (+ 25 000 km/an), la question ne se pose plus, le D 24 s'impose naturellement.
Mais autant bien le choisir et savoir où on met les pieds; pour pouvoir rouler loin et longtemps sans arrière-pensée.
Ce que je te souhaite de tout coeur
!
Pourquoi?
Les gens qui roulent en boîtoto aiment un style de conduite coulé privilégiant le confort à la recherche de la perf' à tout prix.
Ce qui va dans l'intérêt d'un D 24 T (109 ch sans intercooler, donc!) à la réputation globale de fragilité (si négligé), dont la culasse n'aime pas le manque de respect qui lui est du, pour son long et progressif temps de chauffe nécessaire.
Ceci dit, je connais la 760 GLE AM 83 1ère main d'un ami, motorisée par un D 24 T, totalisant 750 000 km d'origine avec le même bloc. Comme quoi!
Oui, ça existe! Mais il a compris et il applique scrupuleusement le mode d'emploi de ce moteur VW agréable, performant pour son époque et... robuste si on veut bien en jouer.
Les D 24 simples, T, et Tic bâclés antérieurs à 1995, sont étrangement en vente entre 250 000 et 350 000 kilomètres avec une note globale de reconstruction entre 6000 € (case motoriste) et 9000 € (en passant par Volvo), avec factures, dans les deux cas.
Ca peut se calculer, mais un D 24 négligé à refaire tôt ou tard coûtera aussi cher, voire plus cher qu'un B XXX consommant 2 litres de SP en plus avec un kilométrage identique

Pour vous donner une idée, la réfection complète d'un B 20 A (1,9 l à essence culbuté), "bloc livré embiellé", plus réfection de la culasse (avec entre autres choses, pose de bagues rapportées admission et échappement pour rouler au sans-plomb sans risque de récession) m'est revenue à 2500 €.
Un "bloc rouge" à essence plus moderne genre B 21 ou B 200 reviendra moins cher à reconditionner le moment venu, c'est-à-dire, très tard.
De quoi reconsidérer, peut-être, l'attraît du Diesel par rapport à l'essence, avec un écart de 0,15 € au litre

Si tu roules vraiment beaucoup (+ 25 000 km/an), la question ne se pose plus, le D 24 s'impose naturellement.
Mais autant bien le choisir et savoir où on met les pieds; pour pouvoir rouler loin et longtemps sans arrière-pensée.
Ce que je te souhaite de tout coeur
