Bienvenue Thomck sur Univers!
Je regardais l'autre jour chez un ami, une callypige Porsche 911 SC, avec, à mon avis, l'un des plus beaux fessiers de l'histoire automobile. Les résonances graves et sourdes de son flat-six de 3,0 au ralenti étaient irrésistibles.
Les rondeurs de ce petit fauve faussement docile, étaient une invitation à la caresse.
Quel mythe! J'ai les références que je peux
!
Concernant Volvo, sa culture sécuritaire de haut niveau, sa silhouette prognathe (au menton fort) rassurante de déménageur, la recherche toute scandinave et son goût pour le rationnel, le simple sur le compliqué, le fiable sur l'attrait de la nouveauté technique aléatoire, son grand confort ergonomique, ses performances, que sais-je encore
? en font une marque haut de gamme sécurisante partout où les climats sont rigoureux et la panne périlleuse.
En Amérique du Nord, dans toutes les contrées européennes septentrionales, montagneuses, Volvo n'a que des enthousiastes convaincus chaque jour de la justesse de leur choix.
Dans nos pays plus doux à la mentalité latine, dans ce segment de voiture luxueuse, le frivole et la frime le disputent aux valeurs essentielles de notre constructeur vénéré qui n'a eu qu'un succès d'estime en France.
Mais le coup de crayon de Peter Horbury sur la S 80 Mk I, en 1998, a consacré une nouvelle ère stylistique, plus consensuelle de sorte que presque chaque budget puisse voir une alternative crédible aux sempiternelles allemandes, japonaises de luxe.
Le déhanché d'une 240 de profil a été heureusement repris, revu, adapté sur toute une gamme d'autos intéressantes aux intérieurs d'habitacle chaleureux et lumineux comme savent en faire les scandinaves.
Volvo se porte pas trop mal. Et c'est tant mieux
!
Je regardais l'autre jour chez un ami, une callypige Porsche 911 SC, avec, à mon avis, l'un des plus beaux fessiers de l'histoire automobile. Les résonances graves et sourdes de son flat-six de 3,0 au ralenti étaient irrésistibles.
Les rondeurs de ce petit fauve faussement docile, étaient une invitation à la caresse.
Quel mythe! J'ai les références que je peux

Concernant Volvo, sa culture sécuritaire de haut niveau, sa silhouette prognathe (au menton fort) rassurante de déménageur, la recherche toute scandinave et son goût pour le rationnel, le simple sur le compliqué, le fiable sur l'attrait de la nouveauté technique aléatoire, son grand confort ergonomique, ses performances, que sais-je encore

En Amérique du Nord, dans toutes les contrées européennes septentrionales, montagneuses, Volvo n'a que des enthousiastes convaincus chaque jour de la justesse de leur choix.
Dans nos pays plus doux à la mentalité latine, dans ce segment de voiture luxueuse, le frivole et la frime le disputent aux valeurs essentielles de notre constructeur vénéré qui n'a eu qu'un succès d'estime en France.
Mais le coup de crayon de Peter Horbury sur la S 80 Mk I, en 1998, a consacré une nouvelle ère stylistique, plus consensuelle de sorte que presque chaque budget puisse voir une alternative crédible aux sempiternelles allemandes, japonaises de luxe.
Le déhanché d'une 240 de profil a été heureusement repris, revu, adapté sur toute une gamme d'autos intéressantes aux intérieurs d'habitacle chaleureux et lumineux comme savent en faire les scandinaves.
Volvo se porte pas trop mal. Et c'est tant mieux
