Bien, Jean Reviens (c'est le pote au cervidé évoqué plus bas), et l'adage ne s'est pas démenti :
belle de loin/loin d'être belle.
Si ce qui m'a rebuté n'avait été que mécanique, encore... bon. Je ne suis pas bon mécanicien, mais j'ai à ma disposition un petit voisin qui me fait ça au black pour 25€ de l'heure (et encore).
Si cela n'avait été que cosmétique. Bon, je m'en fiche comme de l'an quarante pour un daily : et je ne suis pas contre un petit look rat-rod teinté de punk.
Si cela n'avait été qu'une patine due au temps. J'aime plutôt ça.
Le problème est qu'elle avait de tout ça non pas un peu, mais pas mal de tout.
Presque pas de points de rouille... j'en ai vu trois, plus un...
Mécanique : le V6, sans tourner carrer faisait beaucoup de bruits parasites. J'ai cru qu'il ne tournait que sur cinq cylindres au début tellement ça ronchonnait. Mais non, cela venait plutôt des cales de distribution qui n'avaient jamais dû être touchées depuis sa commercialisation.
A part ça, mécanique homogène, dans son jus. témoin de plaquettes de freins éclairée, mais ça... de toute façon je fais changer.
BVA, DA, tout fonctionnait à merveille, et entre parenthèse : le V6 est vraiment très agréable, rond et coupleux. Un moteur comme j'aime. BVA 4 au dessus de tous reproches. J'ai a-do-ré. Une des raisons pour laquelle j'irais un jour au bout de mon désir d'achat!
Châssis : fabuleux. Du Grand Volvo. Lourde à manier, mais au placé redoutable (à vitesse "homologuées"). "Firm" comme on peut les vouloir parfois chez Jaguar, lorsque la douceur est "de trop".
Par contre : pas de freins. Et ça ne vient pas des plaquettes : ça freine comme un âne sur du pavé. Rien. A upgrader d'urgence pour de l'EBC/plaquettes tendres.
Les nivomats étaient en pleine forme... parfait.
Intérieur : super, super, super confortable. Rien à dire... chez Volvo, ils savaient faire. Ce modèle-là est au dessus du lot grâce à ses sièges vraiment faits pour des gens de ma corpulence, c'est à dire des américains d'il y a trente ans.
Full options... dont aucune ne marchait.
Car là est le problème :
- vitres électriques, réglages des sièges, rétros, climatisation/chauffage, toit ouvrant : rien.
- Une déchirure seulement dans le cuir, mais très mal placée (assise).
- Contre-porte côté droit cuite par le soleil (très moche).
- Ciel-de toit plombé et encollage à la dérive.
- Odeur de moisi.
- éclat dans le pare-brise (réparable par injection), mais surtout commence à "blanchir" sur son coin inférieur droit.
- Spoiler cassé (introuvable), réparable avec de l'huile de coude et de la fibre-de-verre.
- Une jante totalement abîmée, bizarrement, les quatre autres presque neuves (quid?)
- Toutes les boiseries ont été cramées par le soleil : le vernis (au moins sept couches) explosé et partant en plaques : tout est réparable, mais avec beauuuucoup de patience. (pas de pièces neuves disponibles).
- système son HS. Introuvable. Or, le look rétro y perd beaucoup.
- "mobilier" non ajusté : impensable dans une auto de cette qualité... encensée sur ce point à sa sortie.
- Drôle de système de mise en route : mettre le contact, actionner un basculeur juste en dessous du cendrier, attendre que l'injection sois mise sous pression, puis... feu. Jamais vu ça. Pas un coupe-circuit, puisque visible par le pire voleur au monde (moi).
- Carte grise encore au nom de l'ancien proprio. et non à celui me l'ayant présenté.
Et donc, trois points de rouille sans importances sauf... qu'elle sentait l'essence au niveau de la roue arrière gauche et un peu dans le coffre.
Possiblement de la rouille entre le réservoir et la caisse.
Et un vernis écaillé sur le capot (mais nulle part ailleurs).
Game over.
Qu'un ou deux des points précédents soient listés... je peux encore envisager un effort, si le vendeur le fait.
Mais là, sans avoir mis la voiture sur un pont, donc sans avoir fait jouer les axes, évalué les silent-blocs et le pont.
Nope...
Oh, ms à part la Hifi , elle est complète. Ce qui est pour cette auto, et de très loin, le plus important. Et elle a du être repeinte en deux occasions, car j'ai trouvé trois nuances de gris (pas cinquante, trois). Mais rien de délirant.
C'est donc une excellente occasion pour qui a la volonté de mettre en oeuvre un chantier de plusieurs milliers (dizaine?) d'euros.
Donc, certainement pas moi.
En tout cas, j'ai vraiment flashé sur son comportement routier et sur la validité de mettre ce V6 là où il est.
Peu importe ses détracteurs-john deer (le fameux pote d'i-celui que je parlais plutôt (qui est l'ami de Mickey. Non, c'est le chien de Mickey, l'ami c'est Dingo... appelez moi Evelyne )
@ + !
belle de loin/loin d'être belle.
Si ce qui m'a rebuté n'avait été que mécanique, encore... bon. Je ne suis pas bon mécanicien, mais j'ai à ma disposition un petit voisin qui me fait ça au black pour 25€ de l'heure (et encore).
Si cela n'avait été que cosmétique. Bon, je m'en fiche comme de l'an quarante pour un daily : et je ne suis pas contre un petit look rat-rod teinté de punk.
Si cela n'avait été qu'une patine due au temps. J'aime plutôt ça.
Le problème est qu'elle avait de tout ça non pas un peu, mais pas mal de tout.
Presque pas de points de rouille... j'en ai vu trois, plus un...
Mécanique : le V6, sans tourner carrer faisait beaucoup de bruits parasites. J'ai cru qu'il ne tournait que sur cinq cylindres au début tellement ça ronchonnait. Mais non, cela venait plutôt des cales de distribution qui n'avaient jamais dû être touchées depuis sa commercialisation.
A part ça, mécanique homogène, dans son jus. témoin de plaquettes de freins éclairée, mais ça... de toute façon je fais changer.
BVA, DA, tout fonctionnait à merveille, et entre parenthèse : le V6 est vraiment très agréable, rond et coupleux. Un moteur comme j'aime. BVA 4 au dessus de tous reproches. J'ai a-do-ré. Une des raisons pour laquelle j'irais un jour au bout de mon désir d'achat!
Châssis : fabuleux. Du Grand Volvo. Lourde à manier, mais au placé redoutable (à vitesse "homologuées"). "Firm" comme on peut les vouloir parfois chez Jaguar, lorsque la douceur est "de trop".
Par contre : pas de freins. Et ça ne vient pas des plaquettes : ça freine comme un âne sur du pavé. Rien. A upgrader d'urgence pour de l'EBC/plaquettes tendres.
Les nivomats étaient en pleine forme... parfait.
Intérieur : super, super, super confortable. Rien à dire... chez Volvo, ils savaient faire. Ce modèle-là est au dessus du lot grâce à ses sièges vraiment faits pour des gens de ma corpulence, c'est à dire des américains d'il y a trente ans.
Full options... dont aucune ne marchait.
Car là est le problème :
- vitres électriques, réglages des sièges, rétros, climatisation/chauffage, toit ouvrant : rien.
- Une déchirure seulement dans le cuir, mais très mal placée (assise).
- Contre-porte côté droit cuite par le soleil (très moche).
- Ciel-de toit plombé et encollage à la dérive.
- Odeur de moisi.
- éclat dans le pare-brise (réparable par injection), mais surtout commence à "blanchir" sur son coin inférieur droit.
- Spoiler cassé (introuvable), réparable avec de l'huile de coude et de la fibre-de-verre.
- Une jante totalement abîmée, bizarrement, les quatre autres presque neuves (quid?)
- Toutes les boiseries ont été cramées par le soleil : le vernis (au moins sept couches) explosé et partant en plaques : tout est réparable, mais avec beauuuucoup de patience. (pas de pièces neuves disponibles).
- système son HS. Introuvable. Or, le look rétro y perd beaucoup.
- "mobilier" non ajusté : impensable dans une auto de cette qualité... encensée sur ce point à sa sortie.
- Drôle de système de mise en route : mettre le contact, actionner un basculeur juste en dessous du cendrier, attendre que l'injection sois mise sous pression, puis... feu. Jamais vu ça. Pas un coupe-circuit, puisque visible par le pire voleur au monde (moi).
- Carte grise encore au nom de l'ancien proprio. et non à celui me l'ayant présenté.
Et donc, trois points de rouille sans importances sauf... qu'elle sentait l'essence au niveau de la roue arrière gauche et un peu dans le coffre.
Possiblement de la rouille entre le réservoir et la caisse.
Et un vernis écaillé sur le capot (mais nulle part ailleurs).
Game over.
Qu'un ou deux des points précédents soient listés... je peux encore envisager un effort, si le vendeur le fait.
Mais là, sans avoir mis la voiture sur un pont, donc sans avoir fait jouer les axes, évalué les silent-blocs et le pont.
Nope...
Oh, ms à part la Hifi , elle est complète. Ce qui est pour cette auto, et de très loin, le plus important. Et elle a du être repeinte en deux occasions, car j'ai trouvé trois nuances de gris (pas cinquante, trois). Mais rien de délirant.
C'est donc une excellente occasion pour qui a la volonté de mettre en oeuvre un chantier de plusieurs milliers (dizaine?) d'euros.
Donc, certainement pas moi.
En tout cas, j'ai vraiment flashé sur son comportement routier et sur la validité de mettre ce V6 là où il est.
Peu importe ses détracteurs-john deer (le fameux pote d'i-celui que je parlais plutôt (qui est l'ami de Mickey. Non, c'est le chien de Mickey, l'ami c'est Dingo... appelez moi Evelyne )
@ + !
SRW (<= heavenly white and red, indeed)
S70 B5252FS 1997 100,000 km : THE Glory Box. Rapatriement DE-FI-NI-TIF!
C70 coupé, B5244S2 2000 170,000 km : moteur serré : partie à la casse.
S80 2,9l 1999 : partie pour sauvetage.
780 ça a failli faillir.