Je pense, Laurent, que tu parles très bien!
La vie est ainsi faite qu'il faut sans cesse jongler entre passion et raison.
Je trouve que tu te projettes très bien dans ta future-nouvelle acquisition au point d'y associer astucieusement Madame.
D'autant que tes ambitions ne sont pas si éloignées de celles des Suédois qui travaillent en semaine, et filent seul ou en famille, camper au bord du premier lac le week-end venu avec leur break Volvo.
L'ancêtre Volvo PV 445 Duett avait lancé le mouvement il y a 60 ans.
Plus prosaïquement, il y avait un stock de chassis de camionnettes qui traînait.
Passant par là, détestant le gaspillage, Gustav Larsson, un des patrons, avait demandé qu'on en fasse quelque chose:
la Duett était née!
Le premier des breaks Volvo!
Concernant ton break, ce "D 24" ou un autre, s'agissant d'un véhicule d'usage quotidien, SERIEUX, il va falloir mettre le paquet pour en trouver un exemplaire très sain.
Tu payes un peu plus cher ta Volvo 240 "prête-à-rouler"; mais tu la trouves!
Ou alors tu trouves une base très fatiguée et tu la refais toi-même à ta main ou tu fais faire par un pro.
Dans TOUS les cas, il va falloir "en lâcher".
Pas question d'arriver en retard au taf pour un blem' sur une Volvo, en plus: la honte devant les collègues!
Si cela se reproduit, ton boss va s'en mêler...
Honnêtement, ton "D 24" à l'arbre de transmission soudé ne me dit rien qui vaille... C'est le truc de trop
!
Tout ça pour ne pas payer un bout de caoutchouc de 60 € qui va durer 30 ans et 2-3 petites heures de main d'œuvre
!
Sur d'autres continents où la main d'œuvre est abondante et bon marché, je ne dis pas; mais chez nous, ce n'est pas recevable !
Je serai curieux de savoir ce que le vendeur va te raconter
!
Des "D 24" ayant vécu, mais réparés dans les règles de l'art, il y en a: privilégie ceux-là! tu gagneras du temps et... de l'argent.
Et encore, je ne parlai pas du rendu esthétique complètement secondaire à ce stade de ta recherche;
Je n'ai pas dit beau d'aspect dedans et dehors, mais aux bonnes origines, conduit, entretenu comme un "D 24" doit l'être.
Le problème, c'est l'association break et Diesel "ultra-utilitaire": bête de somme corvéable à merci, et rarement à jour d'entretien.
Certains s'en servaient même pour récupérer les bottes de paille du temps où elles formaient un parallélépipède rectangle si ce n'est une moquette rongée à force de frottements dus aux chargements d'antiquité.
La 240 Diesel break y perd là une bonne part de son romantisme champêtre et culturel.
D'ailleurs, ici même, un de nos amis a fort à propos raconté son histoire faite de déception de Volvo 200 convoitées qu'il a opportunément délaissées pour une Volvo 700 donnant toute satisfaction.
Sans t'offenser, j'ai cru comprendre que tes compétences et ton budget étaient limités.
Je te suggère, ami Laurent, soit de te montrer patient avant de trouver ta perle en 240 diesel ou essence à un budget décent.
Soit d'envisager cette merveilleuse Volvo 740/760 à la ligne américaine et au cœur tellement suédois.
J'ai les deux en pension; je peux aussi très bien en parler tranquillement
.
Mais choisir, je n'ai jamais su
.
La vie est ainsi faite qu'il faut sans cesse jongler entre passion et raison.
Je trouve que tu te projettes très bien dans ta future-nouvelle acquisition au point d'y associer astucieusement Madame.
D'autant que tes ambitions ne sont pas si éloignées de celles des Suédois qui travaillent en semaine, et filent seul ou en famille, camper au bord du premier lac le week-end venu avec leur break Volvo.
L'ancêtre Volvo PV 445 Duett avait lancé le mouvement il y a 60 ans.
Plus prosaïquement, il y avait un stock de chassis de camionnettes qui traînait.
Passant par là, détestant le gaspillage, Gustav Larsson, un des patrons, avait demandé qu'on en fasse quelque chose:
la Duett était née!
Le premier des breaks Volvo!
Concernant ton break, ce "D 24" ou un autre, s'agissant d'un véhicule d'usage quotidien, SERIEUX, il va falloir mettre le paquet pour en trouver un exemplaire très sain.
Tu payes un peu plus cher ta Volvo 240 "prête-à-rouler"; mais tu la trouves!
Ou alors tu trouves une base très fatiguée et tu la refais toi-même à ta main ou tu fais faire par un pro.
Dans TOUS les cas, il va falloir "en lâcher".
Pas question d'arriver en retard au taf pour un blem' sur une Volvo, en plus: la honte devant les collègues!
Si cela se reproduit, ton boss va s'en mêler...
Honnêtement, ton "D 24" à l'arbre de transmission soudé ne me dit rien qui vaille... C'est le truc de trop

Tout ça pour ne pas payer un bout de caoutchouc de 60 € qui va durer 30 ans et 2-3 petites heures de main d'œuvre

Sur d'autres continents où la main d'œuvre est abondante et bon marché, je ne dis pas; mais chez nous, ce n'est pas recevable !
Je serai curieux de savoir ce que le vendeur va te raconter

Des "D 24" ayant vécu, mais réparés dans les règles de l'art, il y en a: privilégie ceux-là! tu gagneras du temps et... de l'argent.
Et encore, je ne parlai pas du rendu esthétique complètement secondaire à ce stade de ta recherche;
Je n'ai pas dit beau d'aspect dedans et dehors, mais aux bonnes origines, conduit, entretenu comme un "D 24" doit l'être.
Le problème, c'est l'association break et Diesel "ultra-utilitaire": bête de somme corvéable à merci, et rarement à jour d'entretien.
Certains s'en servaient même pour récupérer les bottes de paille du temps où elles formaient un parallélépipède rectangle si ce n'est une moquette rongée à force de frottements dus aux chargements d'antiquité.
La 240 Diesel break y perd là une bonne part de son romantisme champêtre et culturel.
D'ailleurs, ici même, un de nos amis a fort à propos raconté son histoire faite de déception de Volvo 200 convoitées qu'il a opportunément délaissées pour une Volvo 700 donnant toute satisfaction.
Sans t'offenser, j'ai cru comprendre que tes compétences et ton budget étaient limités.
Je te suggère, ami Laurent, soit de te montrer patient avant de trouver ta perle en 240 diesel ou essence à un budget décent.
Soit d'envisager cette merveilleuse Volvo 740/760 à la ligne américaine et au cœur tellement suédois.
J'ai les deux en pension; je peux aussi très bien en parler tranquillement

Mais choisir, je n'ai jamais su

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