Si une clim' à l'ancienne arrive à tenir sa charge en gaz 3/4 ans, c'est déjà beau 
.
Avant de vouloir "tout" changer, il peut être utile de se rapprocher d'un frigoriste professionnel.
La procédure est simple - avec un pro à côté de soi - :
En gros, il y a une "mise au vide" pendant laquelle il mesure le reliquat de gaz, d'huile - vitale pour le graissage du compresseur et de l'étanchéité de l'installation - Ca prend au minimum une vingtaine de minutes.
Il en profite pour vérifier le risque de fuite.
Ensuite, il injecte une quantité précise d'huile et de gaz prévue selon le constructeur.
Ca prend une heure pour la totalité de l'opération.
Test et puis roule, ma poule!
Une bouteille déshydratante, corrodée en surface, peut être cabossée, tant qu'elle n'est pas perforée, il n'y a pas lieu de la changer.
Je pense qu'il y a un peu de business autour de notre ignorance où au pays des aveugles, les borgnes sont vite des rois feignants
.
S'il y a un risque de fuite (joint torique plus du côté moteur que d'habitacle ), c'est une bonne idée d'opter un "forfait traceur et recharge".
On ne paye que la main d'œuvre pour changer le joint et celui-ci.
Enfin, une clim' sert à l'année
.
Quand il fait chaud, pour être au frais, bien entendu, mais aussi ces petits matins horribles d'humidité où la buée semble reine, le fonctionnement du compresseur assèche l'air de l'habitacle, rendant leur transparence aux baies vitrées.
Quand la clim' fonctionne, le circuit gaz-huile entretient l'étanchéité de l'installation.
Enfin, le compresseur a/c "tire" sur le vilebrequin en prenant une force sur le moteur le faisant consommer plus.
Pour gagner 8°C dans l'habitacle, on parle alors de 16 % de consommation supplémentaire pour un moteur à essence et 20 % pour un Diesel sur route.
En ville, c'est LE DOUBLE
Les vicieux peuvent très bien couper la clim' dans une cote - où c'est très coûteux - et la brancher dans la descente où c'est gratosse.
Le mieux, c'est de s'en tenir à une différence de 5°C entre l'intérieur et l'extérieur de la voiture.
Eté comme hiver, faire gaffe à la prise en charge automatique de la clim'... automatique, justement
En dosant comme dit plus haut, on évitera le rhume issu du choc thermique et on dépensera moins de carburant pour un confort identique .
.Avant de vouloir "tout" changer, il peut être utile de se rapprocher d'un frigoriste professionnel.
La procédure est simple - avec un pro à côté de soi - :
En gros, il y a une "mise au vide" pendant laquelle il mesure le reliquat de gaz, d'huile - vitale pour le graissage du compresseur et de l'étanchéité de l'installation - Ca prend au minimum une vingtaine de minutes.
Il en profite pour vérifier le risque de fuite.
Ensuite, il injecte une quantité précise d'huile et de gaz prévue selon le constructeur.
Ca prend une heure pour la totalité de l'opération.
Test et puis roule, ma poule!
Une bouteille déshydratante, corrodée en surface, peut être cabossée, tant qu'elle n'est pas perforée, il n'y a pas lieu de la changer.
Je pense qu'il y a un peu de business autour de notre ignorance où au pays des aveugles, les borgnes sont vite des rois feignants
.S'il y a un risque de fuite (joint torique plus du côté moteur que d'habitacle ), c'est une bonne idée d'opter un "forfait traceur et recharge".
On ne paye que la main d'œuvre pour changer le joint et celui-ci.
Enfin, une clim' sert à l'année
.Quand il fait chaud, pour être au frais, bien entendu, mais aussi ces petits matins horribles d'humidité où la buée semble reine, le fonctionnement du compresseur assèche l'air de l'habitacle, rendant leur transparence aux baies vitrées.
Quand la clim' fonctionne, le circuit gaz-huile entretient l'étanchéité de l'installation.
Enfin, le compresseur a/c "tire" sur le vilebrequin en prenant une force sur le moteur le faisant consommer plus.
Pour gagner 8°C dans l'habitacle, on parle alors de 16 % de consommation supplémentaire pour un moteur à essence et 20 % pour un Diesel sur route.
En ville, c'est LE DOUBLE
Les vicieux peuvent très bien couper la clim' dans une cote - où c'est très coûteux - et la brancher dans la descente où c'est gratosse.
Le mieux, c'est de s'en tenir à une différence de 5°C entre l'intérieur et l'extérieur de la voiture.
Eté comme hiver, faire gaffe à la prise en charge automatique de la clim'... automatique, justement
En dosant comme dit plus haut, on évitera le rhume issu du choc thermique et on dépensera moins de carburant pour un confort identique
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