Maintenant qu'elles rouillent moins, l'obsolescence est... programmée 
.
La faille qui empêche la voiture de rouler ou engendre une dégradation du confort.
Par exemple, sur une Renault Laguna II assez calamiteuse comme de nombreuses autos électronisées du début des années 2000, les mécanismes de levée-descente de vitres AV sont fragiles.
Sur une auto de 15 ans et plus, autant dire qu'elle ne rouille pas, mais son, ou ses mécanismes reviennent à 400 € pièce hors MO.
Autant dire que pour son proprio obligé de rouler la fenêtre ouverte, sa Renault est plus près de la porte que de l'augmentation.
Plus près de nous chez Volvo, la réputation des P 80 n'est plus à faire. Quand une pompe à essence vient tout de même à rendre l'âme sur une 850, c'est 600 € tc au comptoir.
Le moins intéressé des utilisateurs ne regardera que cette dépense pour mener sa brave 850 à la casse.
Pourtant, on trouve dans le E-commerce des pompes à essence "neuves dans la boîte" Bosch pour moins de 100 €.
Sinon, pour en revenir au sujet, la revue Auto-Rétro que je n'avais pas lue depuis quinze ans, a commis un guide d'achat spécial "anciennes de moins de 10 000 €".
Connaissant (un peu) le sujet, les pages sur la Volvo 240 me laisse un goût de "ni fait, ni à faire"
.
Personne ne leur a demandé de faire semblant d'aimer les Volvo et cette génération d'auto particulièrement typée où il y a beaucoup plus à en dire en 17 ans de carrière que quatre pages chiches.
Certes, il faut faire court... et l'envolée lyrique des adjectifs épithètes concerne d'autres marques, d'autres modèles plus prestigieux, et ... peu fiables.
Je comprends alors ma désaffection passée et actuelle pour cette presse spécialisée auto-proclamée forte de "35 ans d'expertise"...
.La faille qui empêche la voiture de rouler ou engendre une dégradation du confort.
Par exemple, sur une Renault Laguna II assez calamiteuse comme de nombreuses autos électronisées du début des années 2000, les mécanismes de levée-descente de vitres AV sont fragiles.
Sur une auto de 15 ans et plus, autant dire qu'elle ne rouille pas, mais son, ou ses mécanismes reviennent à 400 € pièce hors MO.
Autant dire que pour son proprio obligé de rouler la fenêtre ouverte, sa Renault est plus près de la porte que de l'augmentation.
Plus près de nous chez Volvo, la réputation des P 80 n'est plus à faire. Quand une pompe à essence vient tout de même à rendre l'âme sur une 850, c'est 600 € tc au comptoir.
Le moins intéressé des utilisateurs ne regardera que cette dépense pour mener sa brave 850 à la casse.
Pourtant, on trouve dans le E-commerce des pompes à essence "neuves dans la boîte" Bosch pour moins de 100 €.
Sinon, pour en revenir au sujet, la revue Auto-Rétro que je n'avais pas lue depuis quinze ans, a commis un guide d'achat spécial "anciennes de moins de 10 000 €".
Connaissant (un peu) le sujet, les pages sur la Volvo 240 me laisse un goût de "ni fait, ni à faire"
.Personne ne leur a demandé de faire semblant d'aimer les Volvo et cette génération d'auto particulièrement typée où il y a beaucoup plus à en dire en 17 ans de carrière que quatre pages chiches.
Certes, il faut faire court... et l'envolée lyrique des adjectifs épithètes concerne d'autres marques, d'autres modèles plus prestigieux, et ... peu fiables.
Je comprends alors ma désaffection passée et actuelle pour cette presse spécialisée auto-proclamée forte de "35 ans d'expertise"...
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