Sur une 240 GLT originaire des Pays Bas, je ne sais pas
. Si tu sais lire le néerlandais, quelques topics traînent à ce sujet.
Merci du retour d'infos, Loslo
!
Sur une 240 Grand Luxe Tourisme française, tu as droit à de nombreuses petites douceurs.
En France, la finition GLT est apparue en 1979 sur la 240 éponyme dite "pare chocs alu".
S'agissant du 2,3 L à injection mécanique "B 23 E" de 140 ch, niveau marketing, elle ne pouvait prendre l'appellation "GLE" Grand Luxe Executive - cadre sup' en anglais - affectée davantage au statut bourgeois et au confort de ses mécaniques de série paisibles.
Réglée plus sport, la GLT implique un peu plus de dynamisme dans ses réglages de train AV et ses comportements routiers.
Cette mécanique pêchue n'a pas passé le deuxième restylage. Elle y abandonné 4 chevaux pour être conforme aux lois de dépollution de certains états sévérisés.
Alors que la finition GLE arborant divers chromes finit sa carrière en 1985; en haut de gamme ultime, la GLT des 240 série IV reprend le flambeau en plébiscitant le noir mat dans les années 88-89.
C'est même un modèle à part entière avec un 2,3 l à "l'équipage mobile aux frictions réduites" baptisé "B 230".
En "E", il ne développe plus que 131 ch en version normale tandis qu'en "F", la Katalysée se contente de 111 ch seulement.
Elle se permettra même de siroter plus de sans-plomb d'ailleurs.
La calandre arborera alors le "Lambda sond" dont je me rappelle encore la satisfaction non dissimulée de mes hôtes berlinois, bo-bos avant l'heure, piqués d'écologisme juste avant la Chute de l'infâme Mur.
En 2,3 L, il ne reste plus que le gros couple de cette cylindrée pour se faire une raison en roulant cool et un équipement particulièrement cossu et de qualité.
Assez bossé
! A votre tour de le détailler
!

Merci du retour d'infos, Loslo

Sur une 240 Grand Luxe Tourisme française, tu as droit à de nombreuses petites douceurs.
En France, la finition GLT est apparue en 1979 sur la 240 éponyme dite "pare chocs alu".
S'agissant du 2,3 L à injection mécanique "B 23 E" de 140 ch, niveau marketing, elle ne pouvait prendre l'appellation "GLE" Grand Luxe Executive - cadre sup' en anglais - affectée davantage au statut bourgeois et au confort de ses mécaniques de série paisibles.
Réglée plus sport, la GLT implique un peu plus de dynamisme dans ses réglages de train AV et ses comportements routiers.
Cette mécanique pêchue n'a pas passé le deuxième restylage. Elle y abandonné 4 chevaux pour être conforme aux lois de dépollution de certains états sévérisés.
Alors que la finition GLE arborant divers chromes finit sa carrière en 1985; en haut de gamme ultime, la GLT des 240 série IV reprend le flambeau en plébiscitant le noir mat dans les années 88-89.
C'est même un modèle à part entière avec un 2,3 l à "l'équipage mobile aux frictions réduites" baptisé "B 230".
En "E", il ne développe plus que 131 ch en version normale tandis qu'en "F", la Katalysée se contente de 111 ch seulement.
Elle se permettra même de siroter plus de sans-plomb d'ailleurs.
La calandre arborera alors le "Lambda sond" dont je me rappelle encore la satisfaction non dissimulée de mes hôtes berlinois, bo-bos avant l'heure, piqués d'écologisme juste avant la Chute de l'infâme Mur.
En 2,3 L, il ne reste plus que le gros couple de cette cylindrée pour se faire une raison en roulant cool et un équipement particulièrement cossu et de qualité.
Assez bossé


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