Le "D 24" est un moteur qui se mérite
.
Les premiers proprios jouent le jeu; les suivants, pas toujours...
Ces faits se retrouvent étonnament dans l'offre des 240/740/940 "D 24/D 24 Tic" avant 1994.
Résultat
?
Des annonces de vente entre 250/350 000 km avec un joint de culasse mort ou à l'agonie, voire un moteur ruiné.
Chez un motoriste, le billet de réfection tourne autour des 6000 € avec facture tc contre 2/3000 € pour un "B 2xx" à essence beaucoup moins susceptible.
Plutôt que d'en remettre, beaucoup préfèrent s'en débarrasser dès que leur mécano favori leur a donné les premiers signes d'alerte.
Certains, aimant leur Volvo et souhaitant la conserver, jouent le jeu de l'échange-standard d'où la différence entre le kilométrage compteur-chassis et la nouvelle mécanique.
D'autres remontent à la hâte une mécanique trouvée à la casse "baptisée à 150 000 km"
repoussant le problème sans vraiment le régler.
Jusqu'en 1994, pour durer loin et longtemps, le "D 24" aime un respect de son temps de chauffe, idéalement sur longs parcours.
Il aime une huile propre changée en temps et en heure.
Il aime un circuit de liquide refroidissement soigneusement vidangé, purgé et propre.
Sur cette base, si je devais franchir le pas, je fuirais comme la peste les modèles "à plusieurs mains", les approximations...
Une 240 GL-D6 "1ère main" respectueuse de cette mécanique, même à 300 000 km et plus, je la prends!
La question qui tue? Faut pouvoir mettre la (1ère) main dessus
!

Les premiers proprios jouent le jeu; les suivants, pas toujours...
Ces faits se retrouvent étonnament dans l'offre des 240/740/940 "D 24/D 24 Tic" avant 1994.
Résultat

Des annonces de vente entre 250/350 000 km avec un joint de culasse mort ou à l'agonie, voire un moteur ruiné.
Chez un motoriste, le billet de réfection tourne autour des 6000 € avec facture tc contre 2/3000 € pour un "B 2xx" à essence beaucoup moins susceptible.
Plutôt que d'en remettre, beaucoup préfèrent s'en débarrasser dès que leur mécano favori leur a donné les premiers signes d'alerte.
Certains, aimant leur Volvo et souhaitant la conserver, jouent le jeu de l'échange-standard d'où la différence entre le kilométrage compteur-chassis et la nouvelle mécanique.
D'autres remontent à la hâte une mécanique trouvée à la casse "baptisée à 150 000 km"

Jusqu'en 1994, pour durer loin et longtemps, le "D 24" aime un respect de son temps de chauffe, idéalement sur longs parcours.
Il aime une huile propre changée en temps et en heure.
Il aime un circuit de liquide refroidissement soigneusement vidangé, purgé et propre.
Sur cette base, si je devais franchir le pas, je fuirais comme la peste les modèles "à plusieurs mains", les approximations...
Une 240 GL-D6 "1ère main" respectueuse de cette mécanique, même à 300 000 km et plus, je la prends!
La question qui tue? Faut pouvoir mettre la (1ère) main dessus

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